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L’impact économique de la coupe du monde de rugby
Martin Bureau/AFP

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Si vous ne comprenez pas pourquoi le bar près de chez vous est soudainement rempli d’Anglais tenant des demis de bière : ne vous inquiétez pas, la Coupe du Monde 2023 de rugby commence aujourd’hui.


Pourquoi on en parle ? 600 000 touristes sont attendus pour cette édition qui se tient du 8 au 28 octobre ; de quoi redonner de l’espoir au secteur du tourisme qui n’a pas pu transformer l’essai cet été. 


Dans les faits : La France accueillait déjà la Coupe du monde de rugby en 2007, et à l’époque, les retombées économiques de la compétition pour le pays étaient estimées entre 340 et 590 millions d’euros. Mais cette année, on entre dans une autre dimension : les retombées sont estimées à plus de 2 milliards d’euros et 17 000 emplois créés ou sauvegardés.


  • C’est plus que l’Euro de foot 2016 qui avait généré 1,2 milliard, et à peine moins que les JO 2024 qui devraient générer 2,3 milliards.


Dans le détail : En plus de ces retombées économiques massives, la Coupe du monde “sera très profitable financièrement” et devrait générer plusieurs dizaines de millions d’euros de bénéfices selon Jacques Rivoal, président du Groupement d’intérêt public France 2023.


Comment ? 


  • Le comité d’organisation mise cette année sur les entreprises : “Nous attendons 25 000 entreprises à travers toute la France et 11 000 pour les 10 matchs qui auront lieu au Stade de France. 75 % des prestations ont déjà été vendues” selon Jad Zoghbi, le directeur des Offres Hospitalités France 2023.

  • On ne vous parle pas des prix du logement : les chambres pour deux personnes ont augmenté de 77% à Lille et 59% à Marseille sur un an.

  • Autre spécimen ami de l’économie : les fans de rugby. Ils viennent de pays aisés et sont biens plus calmes que les footix : “Moins de policiers, moins de contrôle, moins de protection” estime J-P Gayant, économiste de sport à l’université de Rennes. 


Bref : RDV ce soir pour le match d’ouverture France – Nouvelle-Zélande. ALLEZ LES BLEUS !

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Dans les faits : La France accueillait déjà la Coupe du monde de rugby en 2007, et à l’époque, les retombées économiques de la compétition pour le pays étaient estimées entre 340 et 590 millions d’euros. Mais cette année, on entre dans une autre dimension : les retombées sont estimées à plus de 2 milliards d’euros et 17 000 emplois créés ou sauvegardés.


  • C’est plus que l’Euro de foot 2016 qui avait généré 1,2 milliard, et à peine moins que les JO 2024 qui devraient générer 2,3 milliards.


Dans le détail : En plus de ces retombées économiques massives, la Coupe du monde “sera très profitable financièrement” et devrait générer plusieurs dizaines de millions d’euros de bénéfices selon Jacques Rivoal, président du Groupement d’intérêt public France 2023.


Comment ? 


  • Le comité d’organisation mise cette année sur les entreprises : “Nous attendons 25 000 entreprises à travers toute la France et 11 000 pour les 10 matchs qui auront lieu au Stade de France. 75 % des prestations ont déjà été vendues” selon Jad Zoghbi, le directeur des Offres Hospitalités France 2023.

  • On ne vous parle pas des prix du logement : les chambres pour deux personnes ont augmenté de 77% à Lille et 59% à Marseille sur un an.

  • Autre spécimen ami de l’économie : les fans de rugby. Ils viennent de pays aisés et sont biens plus calmes que les footix : “Moins de policiers, moins de contrôle, moins de protection” estime J-P Gayant, économiste de sport à l’université de Rennes. 


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